Aussi douloureuse que soit la séparation pour ces adultes – dans certains cas il s´agirait plutôt d´adulescents, dépeignez la souffrance mortellement effroyable, l´épouvantable désarroi se logeant chez leurs petites têtes blondes.
A l’heure où tout peut au sein d´une famille s’écrouler du jour au lendemain, où les impitoyables querelles acharnées des parents peuvent terriblement ébranler la vie familiale, où les écorchés fusent de tous côtés et où les multiples déversements envenimés de haine peuvent fortement terrifier les plus petits, cette rupture parentale quoique bel et bien mortifère pour les enfants, constituerait-elle une chance pour une nouvelle vie moins entravée, moins rancunière, pour engendrer un foyer qui en finirait avec cette espèce de guerre sans merci, empestant si sauvagement et sans relâche, ou, plutôt, à l´heure où le mariage rompu n’est plus l’infamie d’antan, le divorce serait-il une épreuve ultra ultra destructrice ?
Comment s’y prendre afin d´éviter que les enfants étant inlassablement ballottés d’une maison à l’autre, voire ravagés par le séisme du divorce, passent des années et des années à en vouloir à leurs parents? Et comment pourraient-ils s´en sortir dès que tous leurs repères, implacablement dynamités, s´effondrent ?
Enfin, je me hasarderai à espérer que l´on tentera d´en venir à bout en réagissant à toutes ces questions, cependant, entre-temps, veuillez écouter l´interprétation faite par Inmaculada Sanchez, aux côtés de son guitariste Santiago, de "Viens, viens", le tube de Marie Laforêt. Ô combien elle s´y colle !
A l’heure où tout peut au sein d´une famille s’écrouler du jour au lendemain, où les impitoyables querelles acharnées des parents peuvent terriblement ébranler la vie familiale, où les écorchés fusent de tous côtés et où les multiples déversements envenimés de haine peuvent fortement terrifier les plus petits, cette rupture parentale quoique bel et bien mortifère pour les enfants, constituerait-elle une chance pour une nouvelle vie moins entravée, moins rancunière, pour engendrer un foyer qui en finirait avec cette espèce de guerre sans merci, empestant si sauvagement et sans relâche, ou, plutôt, à l´heure où le mariage rompu n’est plus l’infamie d’antan, le divorce serait-il une épreuve ultra ultra destructrice ?
Comment s’y prendre afin d´éviter que les enfants étant inlassablement ballottés d’une maison à l’autre, voire ravagés par le séisme du divorce, passent des années et des années à en vouloir à leurs parents? Et comment pourraient-ils s´en sortir dès que tous leurs repères, implacablement dynamités, s´effondrent ?
Enfin, je me hasarderai à espérer que l´on tentera d´en venir à bout en réagissant à toutes ces questions, cependant, entre-temps, veuillez écouter l´interprétation faite par Inmaculada Sanchez, aux côtés de son guitariste Santiago, de "Viens, viens", le tube de Marie Laforêt. Ô combien elle s´y colle !
"Viens, viens", une chanson enivrante, très touchante et fort émouvante dont l´histoire est encore vécue de nos jours. La terrible détresse ressentie par une fille tentant désespérément de ramener son père à la maison; un père ayant quitté toute sa famille pour rejoindre une autre femme.
Inmaculada Sanchez, notre élève de français, réussira-t-elle à vous emmitoufler dans sa magie, avec la puissance de sa voix ?
Publié par Carmen Caballero, prof de français.
Publié par Carmen Caballero, prof de français.