samedi 26 mai 2012

LA PETITE MARCHANDE DE PROSE (Daniel Pennac)

En premier lieu et dans l’intention de vous introduire ce livre parmi vos lectures, je vais vous parler un peu sur l’auteur: Daniel Pennac.
Il est un écrivain français d’origine marocaine élevé en Afrique et en Asie du Sud. Il est important que vous connaissiez son origine afin de comprendre quelques particularités des personnages du livre ainsi que l’ambiance vu que le roman se déroule dans un quartier multiethnique, avec des personnages de toutes les nationalités et des personnalités différentes et extravagantes: un chien épileptique qui est comme un autre membre de la famille Malaussène, une chef que le protagoniste appelle “la reine Zabo”, une de ses soeurs qui est très jeune et va se marier avec un homme 40 ans plus vieux qu’elle, les amis de la famille qui sont la plupart d’origine étrangère et dont les histoires sont aussi bizarres ou, au moins, différentes aux histoires des vies de la foule en général….
Le livre dont je suis en train de parler, fait partie d´une série de romans dont les protagonistes sont les membres de la famille Malaussène. Tous ces livres sont des polars, plus que des romans.
Je ne vais presque rien vous raconter sur l´histoire du livre vu que vous-mêmes vous pouvez le lire, par contre je vous lancerai faiblement de petites références sur cet ouvrage et les difficultés que j’ai eues en le lisant.
Au début, la prose porte sur la vie laborale et familiale du protagoniste (Benjamin Malaussène).
Réellement l’histoire commence par un incident de travail qui fait démissionner Malaussène de son poste. À ce moment - le moment de l’incident -  il se souvient d´une phrase qui se répètera tout au long du livre “la mort est un processus rectiligne”.
La lecture, en général, est amusante vu que la prose est remplie de surprises. Un événement totalement étonnant casse le rythme de l´histoire. Il y a un assassinat totalement inattendu dans un des premiers chapitres et puis une tentative d’assassinat et finalement il se passe plusieurs assassinats. À ce moment où l´on commence l’investigation, on découvre qu’il s’agit d´un polar. En effet, toute la série Malaussène s´englobe dans la catégorie des polars.
Je trouve un des moments plus difficiles à lire celui où le protagoniste lui-même est entré dans le coma, du fait que, au début, je ne savais pas vraiment s´il était mort ou dans le coma. À partir de ce moment, il reste en luttant sur scène entre la vie et la mort, et se souvient de la phrase “la mort est un processus rectiligne”…
D´autres difficultés que j´ai eues en lisant, ont été le langage très familier, les métaphores que l’auteur utilise fréquemment et l’imagination du protagoniste, qui plusieurs fois exprime ses pensées mélangées entre les conversations réelles.
Mon opinion personnelle du livre est que, finalement, le livre est amusant et l’histoire bien construite. Les personnages en général, l’ambiance et les réflexions de Benjamin Malaussène décrochent une oeuvre rigolote.
Le style littéraire est génial et différent à d´autres, mais d’après moi l’auteur a trouvé une formule grâce à laquelle il a réussi: une série où dans chaque livre il mélange le style, les personnages particuliers, le mystère et les réflexions intelligentes et rigolotes du personnage.
Pour finir, je vous prie de lire ce livre, ou n´importe quel autre livre du sage Malaussène ou de Daniel Pennac, ou comme l´auteur nous dirait: je vous prie de lire ce que vous souhaitiez le plus.

Publié par Marisa García Soria, élève du Niveau Intermédiaire, 2e année.

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